Lorsqu'en juillet 2017, la ville de la vieille ville de Hébron est déclarée par l’UNESCO « zone protégée du patrimoine mondial » de l’humanité, lacte est sans doute un acte politique, le patrimoine de Hébron n’étant pas exceptionnel.1

Les États-Unis et Israël préviennent alors de leur intention de réexaminer leurs liens avec l'Unesco.

 

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L'organisation a multiplié ces dernières années les résolutions présentant Jérusalem comme une ville où le passé juif n'est jamais mentionné. Ainsi le mur occidental est toujours appelé Muraille Al-Burak. C'est le nom de l'animal mythique, mi-cheval mi-oiseau qu'aurait accroché à ce mur Mohamet dans un « voyage nocturne » décrit par la sourate 17 du Coran.

Le 12 octobre 2017, les USA ont annoncé leur retrait. Israël a prévenu qu'il suivrait. Le double retrait est effectif au 31 décembre 2018 malgré les efforts de la nouvelle présidente, la française Audrey Azoulay, pour leur faire changer d'avis.

 

1 Hébron abrite les tombeaux des patriarches (mosquée Al_Ibrahim et synagogue), ensemble de grottes correspondant au site biblique de  Makhpela.

 

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