Chronologie

408 : législation antijuive de Theodose II

425 ;  décret des empereurs Théodose II et Valentinien III, adressé au préfet de la Gaule interdisant aux Juifs et aux païens d'être avocats ou magistrats ou fonctionnaires de façon que les chrétiens ne leur soient pas subordonnés et que Juifs et païens soient incités à se convertir au christianisme.(cf code de théodose)

465  Le concile de Vannes décide en son point n° 12  que les Clercs ne doivent pas manger avec des Juifs.

"Que les clercs évitent de manger chez des juifs et qu'ils ne reçoivent pas de juifs à leur table. En effet, comme les juifs ne consomment pas la nourriture ordinaire des chrétiens, il serait indigne et sacrilège que des chrétiens mangent leur nourriture. Ils jugent que ce que nous mangeons avec la permission de l’Apôtre est impur, de sorte que les clercs apparaitraient inférieurs aux juifs s'ils acceptaient ce que les juifs leur présentent alors que ces derniers rejettent ce que nous leur offrons."

Le concile provincial de Vannes qui se tint en 461 ou 465 est présidé par saint Perpetuus, métropolitain de Tours. Ce concile marqua « officiellement » la fondation de l'évêché de Vannes ainsi que la consécration du saint patron de la ville : Paternus

" Ce canon s'insère dans une série d'ordonnances (c. 11 à 14) relatives à la discipline des clercs, leur rappelant leurs obligations de célibat, de sobriété, et de retenue. Il interdit les rencontres commensales entre clercs et juifs au motif qu'elles seraient le lieu d'une relation dissymétrique offensante pour les chrétiens, les juifs refusant, conformément aux interdits bibliques, les plats des non-juifs alors que les convives chrétiens pouvaient manger ceux des juifs. On sait le caractère très codifié - notamment au Moyen Age - des règles de l'hospitalité, règles qui impliquent en particulier que le rôle de l'hôte soit assumé en alternance, et la gravité que pouvait donc recouvrir le fait de refuser de partager de la nourriture. Il faut aussi noter que la raison invoquée par les juifs pour refuser les plats des chrétiens ("ils jugent que ce que nous mangeons avec la permission de l'Apôtre est impur") pouvait faire écho à une polémique vivace dans certains cercles chrétiens autour du caractère prescriptif ou non des interdits alimentaires du Lévitique. Selon la tradition (Ac 15), un "concile" de Jérusalem avait aboli les pratiques judaïsantes mais perpétué certains interdits alimentaires comme celui de manger des animaux ensanglantés. Or l'exégèse de ce passage donnait lieu, au Haut Moyen Age, à d'âpres débats. Les Pères de Vannes pouvaient craindre à raison que l'exemple des juifs ne contribue à entretenir les incertitudes des fidèles.

Signification historique

L'interdiction des repas communs entre juifs et chrétiens n'a, en Occident, qu'un précédent connu, celui du canon 50 du concile d'Elvire en Bétique (300-306). Mais il est possible que d'autres prohibitions de ce type aient circulé, en Hispanie ou en Gaule, entre le IVe et le Ve siècle. En effet, Bernhard Blumenkranz, ayant remarqué la formulation redondante du canon de Vannes, estime que le texte est composite, fruit de la réunion de trois canons plus anciens issus d'actes de conciles perdus. Cinquante ans plus tard, le canon 12 devait être repris quasiment mot pour mot par les évêques réunis au concile wisigothique d'Agde (506). [ http://telma.irht.cnrs.fr/outils/relmin/extrait40867/]

533 : Première expulsion.  Childebert 1er fils de Clovis, expulse des Juifs qui refusent de se convertir au christianisme

538 : Le IIIe concile d'Orléans interdit à tous les Juifs de se montrer dans les rues et marchés, du jeudi saint à la fête de Pâques.

Le concile décide dans un de ces canons (décisions) que l'évêque doit racheter un esclave chrétien au service d'un juif s'il se réfugie dans l'église, alors que les constitutions du Bas-Empire romain exigeaient de le rendre au maitre, sans autres garanties

540 : Childebert interdit à tout chrétien de louer les services d'un Juif

541 : IVe concile d’Orléans. Il réunit trente-huit évêques et douze représentants d'évêque. Une série de mesures tournées contre les juifs reprennent des dispositions des précédents conciles : les juifs ne peuvent employer un chrétien ni un païen ; un esclave païen ou chrétien appartenant à un juif qui s’enfuit et se réfugie dans une église ou une maison chrétienne ne peut être ramené à son propriétaire, et les esclaves chrétiens appartenant à des juifs doivent être libérés, moyennant un rachat par l'Evèque,

582 : Edit de Chilpéric 1er ordonnant "à tous les Juifs de Paris d'être baptisés sous peine d'avoir les yeux crevés et de venir présider lui-même à son exécution"

591 : En 591, les Juifs chassés de la ville d'Orléans se réfugient en Provence. À ce propos, une lettre du pape Grégoire Ier réprimande l'archevêque d'Arles Virgile, à la suite de nombreuses plaintes pour des conversions forcées.

629 : Dagobert Ier propose d'expulser de ses domaines tous les Juifs qui n'accepteraient pas le christianisme.

633  : Deuxième expulsion. Dagobert expulse de la rue de la Juiverie (de la Cité) les Juifs qui ont refusé de se convertir suite à sa demande de 629

814 : Louis le Pieux (814-833), fidèle aux principes de son père, accorde une stricte protection aux Juifs en raison de leurs activités de négociants et ce, malgré les accusations d'Agobard (778-840), évêque de Lyon

1009 : Destruction du Saint-Sépulcre par le sultan Al-Hakim. Nombreuses expulsions de Juifs tenus pour responsables.

1010 : En 1010, Alduin, évêque de Limoges, offre aux Juifs de son diocèse le choix entre le baptême et l'exil.

Sur la situation des Juifs au moyen-âge : " Le juif appartient à une espèce hybride : il tient à la fois de l'étranger (aubain) et du serf. Comme l'étranger, n'étant pas régnicole, il ne peut acquérir d'immeubles. Comme le serf, il appartient au roi ou au seigneur, qui peuvent le tailler à merci, le vendre, le revendiquer 3. Il ne jouit ni de sécurité, ni de protection. Pourtant, les édits d'expulsion et de confiscation comme celui de Philippe- Auguste en 1182, prouvent que ces règles connaissaient des entorses.

A mesure que les années passent, la situation des juifs s'aggrave :. leur statut s'écarte de plus en plus de celui de l' aubain pour se rapprocher de celui du serf. Rois et seigneurs disent « mes juifs » comme « mes terres »  ; ils vendent les juifs, individuellement ou par lots. Sous Philippe-Auguste s'instaure la règle : « Li meuble au juif le roi, sunt au roi » et « Li meuble au juif sunt au Baron » s. Saint Louis décide, en décembre 1230, que nul seigneur du royaume ne pourra garder un juif appartenant à un autre ; chaque seigneur pourra récupérer le juif qui lui appartient, comme son propre esclave (tanquam proprium servum), où qu'il se trouve et quel que soit le délai écoulé depuis son départ. Cette situation très proche du servage dure jusqu'à l'expulsion complète des juifs en 1394 ; les juifs qui séjournent en France, à partir du règne de Louis XIV, ne sont plus assimilés aux serfs, mais demeurent des étrangers, sans défense ni recours contre les violences et les exactions.

A partir de la 2e Croisade, des milliers de juifs périrent sans procès"  (in Aspects et problèmes spécifiques de l'histoire des Juifs en France, Lazare Landau, 1973, in revue d'histoire de l'église de France)

1030 : Robert 1er le mangnifique, Duc de Normandie, oblige les Juifs à choisir entre le baptème et la mort. Une persécution impitoyable s'ensuit, finalement arrêtée par l'intervention du Pape Jean XIX.

1096 : Massacre des Juifs de Rouen par des croisés

1146 : Massacres de Juifs, avant le départ de la croisade. " À quoi bon s’en aller au bout du monde, […] pour combattre les Sarrasins, quand nous laissons demeurer parmi nous d’autres infidèles qui sont mille fois plus coupables envers le Christ que les mahométans ? » (Abbé Pierre de Cluny)"

1181 : Philippe-Auguste fait arrêter les Juifs de France dans leur synagogue, les dépouille de leurs biens, or, argent et vêtements et les libère contre une rançon de 15 000 marc or. Il fait annuler les dettes contractées auprès de Juifs et prend au passage une commission de 20% auprès des débiteurs.

1182 : Troisième expulsion des Juifs de France par Philippe Auguste, qui les dépouille de leurs biens restants.

1198 : Rappel des Juifs de France par Philippe Auguste

1206 : Ordonnance de Philippe Auguste sur les prêts octroyés par des Juifs

1240 : Expulsion des Juifs de Bretagne ( qui n'est pas française) par l'ordonnance de Ploermel le 10 avril 1240. "Il faut attendre le XVIIe siècle et surtout le XVIIIe pour retrouver trace de leur présence à Nantes, mais aussi à Saint-Malo et à Rennes fréquentant les grandes foires de Bretagne."

1242 : Brulement du Talmud en place de grève

Les controverses théologiques entre juifs et chrétiens, courantes dans les premiers siècles du christianisme, se poursuivent dans l’Europe médiévale, où elles se déroulent généralement dans un climat de cordialité. Dans le courant du XIe siècle, la chrétienté occidentale s’organise dans sa lutte contre les hérésies afin d’affermir son pouvoir spirituel. L’intérêt porté par les clercs aux textes juifs évolue alors graduellement de la méfiance à la franche hostilité. La littérature rabbinique devient la cible privilégiée de l’antijudaïsme.

En 1239, Nicolas Donin, juif converti, se rend à Rome auprès du pape Grégoire IX, auquel il soumet une accusation en règle contre le Talmud, livre jugé « immoral et offensant » pour les chrétiens, « blasphématoire » envers le Christ et la Vierge Marie. Le pape promulgue une bulle ordonnant la saisie de tous les exemplaires du Talmud en France, en Angleterre, en Aragon et en Castille, ainsi que l’ouverture d’une enquête sur le contenu du Talmud. Louis IX, dit Saint Louis sera le seul souverain à satisfaire à cette exigence. Les livres sont recherchés dans toute la France et transportés à Paris, où une controverse est soutenue publiquement en présence du roi et de la reine mère, Blanche de Castille, les 25 et 26 juin 1240. Le procès du Talmud est instruit selon les trente-cinq accusations énumérées dans la bulle de Grégoire IX et regroupées en cinq thèmes : I. Sur la valeur et l’autorité du Talmud, l’importance exagérée qu’il a prise chez les juifs ; II. Sur les blasphèmes qu’il contient contre Jésus ; III. Sur les blasphèmes contre Dieu et contre la morale ; IV. Sur les blasphèmes contre les chrétiens ; V. Erreurs, sottises et absurdités.

Les acteurs principaux des débats sont, du côté chrétien, Eudes de Châteauroux, chancelier de l’Université de Paris, et Nicolas Donin. Quatre rabbins leur font face : Yehiel ben Joseph, chef de l’école talmudique de Paris, Judah ben David de Melun, tossafiste (commentateur) qui dirige l’école talmudique de Melun, Samuel ben Salomon, appelé aussi sire Morel de Falaise, un des plus importants tossafistes français, et Moïse ben Jacob de Coucy, tossafiste, auteur du Sefer Mitsvot Gadol. Le greffier juif de la controverse est Nathan ben Joseph, surnommé l’Official. Malgré le talent oratoire et l’érudition des rabbins, qui réfutent point par point les accusations, le Talmud est condamné. Tous les exemplaires sont solennellement et publiquement brûlés à Paris, sur l’actuelle place des Vosges (on parle de vingt-quatre charretées de livres), probablement en 1242. Les juifs tentèrent de faire réhabiliter leurs textes sacrés. Quelques années plus tard, Innocent IV consentit à faire réexaminer le verdict, mais une seconde commission, présidée par le dominicain Albert le Grand, ne fit que l’entériner en 1248. (Texte du MAHJ, les Juifs au moyen-âge)

1254 : Quatrième expulsion des Juifs de France par Louis IX ( Saint-Louis). Mesure rapportée contre rançon.

1259 : Saint-Louis impose le port de la rouelle, un morceau d'étoffe jaune,  aux Juifs

1292 : Taxe sur les Juifs

1294 : Expulsion des Juifs de Nevers

1295 : arrestation de Juifs. Ils ont huit jours pour racheter leurs biens saisis à défaut de leur vente au profit du Trésor royal

1300 : Expulsion des Juifs d'Anger

1306 : Cinquième Expulsion des Juifs de France par Philippe le Bel, qui les dépouille avant expulsion

1315 - 1327 : Les Juifs en France sont autorisés à revenir par Louis X le Hutin, pour une durée de 12 ans. Peu reviennent.

1322 : Sixième expulsion des Juifs de France, du Languedoc et de Bourgogne par Charles IX. L'ordonnance du 24 juin 1322 est exécutée en 1323

1349 - 14 février : Pogrom de Strasbourg où périssent  entre 1200 et 1500 Juifs

"Le samedi 14 février 1349, jour de la Saint-Valentin, on cerna le quartier juif. Tous ses habitants furent traînés par la foule au cimetière de la communauté, où on les entassa sur un immense bûcher. Deux mille Juifs furent brûlés vifs. Seuls échappèrent un certain nombre d'enfants et quelques adultes qui abjurèrent leur foi. Les biens des suppliciés furent partagés entre les bourgeois, l'évêque et la municipalité. Les créances furent détruites et certains gages rendus à leurs propriétaires qui habitaient hors de Strasbourg.

L'Empereur Charles IV, après avoir menacé la ville de représailles pour avoir osé massacrer ses Juifs, lui accorda, quelques mois plus tard, son pardon. Un arrêté fut pris par le Magistrat, qui interdit pour deux cents ans toute admission de Juifs dans la ville, et dans les possessions de Strasbourg.

L'anéantissement de la population juive de Strasbourg ne préserva pas la ville de l'épidémie de peste noire. Elle s'abattit sur elle quelques semaines après le massacre.

La plupart des historiens et chroniqueurs, en rapportant l'épisode du "Judenbrand", n'hésitent pas à en attribuer la responsabilité à la cupidité des bourgeois de Strasbourg, désireux de s'approprier les biens des Juifs, ou de se libérer des dettes qu'ils avaient contractées envers les membres de la communauté (site judaïsme d'Alsace-Lorraine)"

 1360 : Rappel des Juifs de France par Jean II le Bon

1389 : Edit de banissement éternel des Juifs de Strasbourg. Il sera appliqué jusqu'à la révolution française.

1394 : Septième expulsion des Juifs de France par Charles VI

Le mercredi 4 novembre 1394, Jacques Prévost, crieur du roi Charles VI, annonce aux Parisiens : « Dorénavant, nul juif ou juive ne pourra demeurer en notre royaume. » La décision est « irrévocable », « sans exception ni privilège », et vaut pour tout le pays, « tant en langue d'oïl  qu'en langue d'oc ». Les cloches, les affiches placardées aux portes des églises, les bannières prennent le relais dans la ville.

1491 et 1501 : Expulsion des Juifs de Provence qui vient d'être rattachée à la France

1615 : Louis XIII renouvelle l'édit d'expulsion des Juifs de France. Il n'en restait qu'un seul, le médecin de Marie de Médicis

1648 : Rattachement de l'Alsace . De nouveau des Juifs en France après trois siècles

1683 : Expulsion des Juifs des colonies (Antilles ) par Louis XIV

1724 : Expulsion des Juifs de colonies (Louisiane)  par Louis XV

 

 

XVIII et XIXe siècle

 

L'émancipation des Juifs de France : lois et décrêts

1791 : Décret d'émancipation des Juifs de France et autres textes ( texte)

 

1806 : Napoléon , question aux juifs ( et réponses)

1806 - projet d'organisation de la nation juive par Napoléon 1er

1806 - 30 mai : Napoléon, Décret impérial n° 1 631 , portant sursis à l’exécution de jugements rendus en faveur de juifs

1808 - 17 mars : Napoléon, décret impérial concernant les Juifs (texte)

1808 - 17 mars : Napoléon, décret "infame" concernant les Juifs sur l'usure (texte)

1808 - 20 juillet : Napoléon, décret concernant les Juifs qui n'ont pas de nom de famille fixes (texte)

1806 - 22 juillet : les douze questions de Napoléon aux notables juifs de France et leurs réponses

1808 - 19 octobre : Napoléon, décret sur l'installation des membres du Consistoire des Juifs à Paris (texte)

 

1870 : le décret Crémieux les juifs d'Algérie obtiennent la nationalité française

1883 : Ernest Renan, le judaïsme comme race et comme religion

 

Affaire Dreyfus

1895 - 5 octobre : lettre de Alfred Dreyfus à Felix Faure (texte)

1897 - 8 novembre : lettre d'Emile Zola à sa femme sur Dreyfus (texte)

1898 - 24 février : article du Figaro sur l'Affaire Dreyfus et la condamnation de Zola

1898 - 23 février : Emile Zola condamné pour son article "j'accuse"

1898 - 13 janvier : Emile Zola publie "J'accuse" (texte)

 

 

XXe siècle

Jaurès et les Juifs - article Gilles Candar - 2009

1933 - 21 juin : Gaston Monnerville dénonce le sort fait aux juifs d'Allemagne - discours

 

Guerre

1940 - 1941 : lois sur le statut des Juifs de France (texte)

1940 - 1999 : Juifs de France - persécution et rétablissement (textes officiels )

 

1941 - 18 octobre : Simon Weill à Xavier Vallat , remerciements

1942 - 20 août : Lettre de protestation du pasteur Boegner au Maréchal Pétain (texte)

1943 - 15 janvier : démission du commissaire Philippe qui refuse la persécution des Juifs

1944 - mai : Pierre Dac répond à Philippe Henriot : Bagatelle pour un tombeau

Vichy et les enfants Juifs

La Grande Mosquée de Paris et les Juifs pendant la guerre

 

Les Juifs d'Algérie

1967 - 27 novembre : De Gaulle : "un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur"

1967 - 27 novembre : Conférence de Presse du général de Gaulle ( texte)

1968 : De Gaulle rencontre le grand rabbin Kaplan

De Gaulle et les Juifs (Horowitz, 2011, Soulas, 2013)

La Gauche et les Juifs - article de Michel Winnock - Revue l'Histoire - 1981

1982 - 9 août : attentat de la rue des Rosiers (Paris)

 

XXIe siècle

2001 : Le nouvel antisémitisme Eric Conan et la note confidentielle au PS de Pascal Boniface (texte)

2017 - 15 janvier : Conférence de Paris.

2017 Affaire Sarah Halimi : communiqué de justice + rapports sénat et auditions (texte)

2017 Affaire Sarah Halimi : avis de l'avocate générale (texte)

2017 Affaire Sarah Halimi : Arrêt de la cour de cassation (texte)

rapport parlementaire (2018) sur le bilan de l'action de la commission pour l'indemnisation des victimes de spoliations (CIVS)

Antisémitisme : le conseil de l'Europe approuve une déclaration pour améliorer la protection des communautés juives

2018 : Forte hausse de l'antisémitisme en France

2019 - 3 décembre : L'assemblée nationale adopte la définition de l'antisémitisme de l'IHRA (texte résolution n° 2403)

2020 - 23 janvier : 75 ans de la libération d'Auschwitz - Discours du président Macron à Yad Vashem (texte)

2020 : Radiographie de l’antisémitisme en France en 2019 (enquête AJC Fondapol- IFOP)

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